Nom : Van Houdt Prénom : Tom Date de naissance : 28/07/1972 Résidence : Beringen Taille : 1m82 Poids : 70 kg Droitier, revers à 2 mains Titres en simple : 0 Titres en double : 1 Titres en double (challengers) : 28 Titres en double (futures) : 0* Meilleur classement simple : 203e (15/04/1996) Meilleur classement double : 36e (10/09/2001) Coach : Surface favorite : Tous ses résultats en 2005 Ses photos à Roland-Garros 2004 * Après le 01/01/1997 |
Faits marquants :Classement simple (double) en fin de saison :1990 : 785e
1991 : 695e (22 v / 15 d) - (26 v / 21 d) 1992 : 308e (172e) (27 v / 18 d) - (44 v / 19 d) 1993 : 420e (153e) (20 v / 27 d) - (30 v / 27 d) 1994 : 385e (237e) (30 v / 25 d) - (34 v / 25 d) 1995 : 208e (218e) (32 v / 23 d) - (30 v / 19 d) 1996 : 437e (153e) (17 v / 20 d) - (33 v / 17 d) 1997 : 415e (78e) (28 v / 13 d) - (43 v / 17 d) 1998 : 1342e (137e) (3 v / 6 d) - (18 v / 31 d) 1999 : Ncl (67e) (1 v / 3 d) - (39 v / 21 d) 2000 : Ncl (52e) (1 v / 1 d) - (24 v / 31 d) 2001 : Ncl (42e) (-) - (25 v / 28 d) 2002 : Ncl (70e) (-) - (24 v / 30 d) 2003 : Ncl (54e) (-) - (25 v / 28 d) détail 2004 : Ncl (77e) (0 v / 1 d) - (31 v / 30 d) détail 2005 : Ncl (85e) (-) (31 v / 28 d) détail |
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Résultats en Grand Chelem et aux Masters (double)
Sa carrière en bref :En 1990, Tom Vanhoudt dispute son premier tournoi challenger à Knokke, en double, associé à Filip Dewulf. Ils s'inclinent en trois manches face aux expérimentés Bahrami et Winogradsky. En 1991, Tom parvient à se qualifier pour la première fois dans un challenger en simple. Il sort en effet des qualifications à Reggio di Calabria mais s'incline au premier tour. En double, toujours avec Filip Dewulf, il participe à son premier match de Coupe Davis en Israël où il s'incline en 4 manches. A Syracuse, il atteint les demi-finales et à Reggio di Calabria il se hisse en quart de finale. En 1992, Tom ne parvient pas à réellement percer en simple. Il se qualifie par deux fois en challenger (Liège et Casablanca) mais ne parvient pas à faire mieux. Par contre, en double il commence à accumuler les bons résultats. Il remporte ainsi les challengers de Genève et de Casablanca. En outre, il dispute les finales de Oberstaufen et Brunei. A Anvers, Liège et Manille, il parvient en demi-finale. La saison 1993 ressemble très fort à la précédente. En simple, il ne parvient pas à faire mieux qu'un quart de finale à Agadir et un deuxième tour à Ponte Vedra (les deux fois il sortait des qualifications). Par contre, il confirme son très bon niveau de double en remportant à nouveau deux titres en challenger (Graz et Budapest) et en disputant la finale à Garmisch. Il fait beaucoup mieux encore puisqu'il remporte le tournoi ATP de Umag. En 1994, Tom tente toujours de se qualifier en simple pour les tournois challengers. Il y parvient à Budapest mais son parcours s'arrête au premier tour. A Liège, il bénéficie d'une invitation qu'il met à profit pour se hisser au second tour. En double, il dispute quelques tournois du Grand prix mais jamais il ne franchit le premier obstacle. En challenger, il est un peu moins heureux que les années précédentes puisqu'il doit se contenter d'une finale (Scheviningen) et de deux demi-finales (Ostende et Genève). En 1995, Tom donne une nouvelle impulsion à sa carrière de simple. Beaucoup plus souvent présent dans les tableaux finaux des challengers, il se hisse en demi-finale à Ostende et en quart à Tampere. A six reprises il dispute le deuxième tour. En double, il ne peut plus jouer aussi régulièrement avec son partenaire habituel. En effet, Dewulf a désormais un classement qui lui permet de se passer des tournois challengers. Cela se ressent dans les résultats de Tom qui, bien qu'il remporte le tournoi de Seville et qu'il dispute la finale à Syracuse, s'incline trop souvent prématurément. En 1996, Tom va disputer 12 tournois challengers. Il ne réussit qu'une seule fois à accéder au deuxième tour. Cette mauvaise série se traduit par une chute vertigineuse au classement ATP. Heureusement, cette perte de confiance n'affecte pas ses résultats en double. Il remporte cette fois trois titres en challenger (Budapest, Szczecin et Séville), dispute la finale à Bratislava et les demi-finales à Agadir et Punta del Este. Sur le circuit ATP, il atteint le deuxième tour à Casablanca. Pertubé par des problèmes d'épaule, Tom va décider en 1997 de laisser sa carrière de simple sur le côté pour se consacrer au double. Il réalise une superbe saison, triomphant à sept reprises en challengers (Barletta, Naples, Budapest, Ulm, Scheviningen, Ostende et Graz). Il dispute également son premier Roland-Garros et son premier US Open. S'il s'incline d'entrée à la Porte d'Auteuil, il passe un tour à Flushing Meadow. Il termine la saison pour la première fois dans le top 100. En 1998, Tom va se concentrer sur les tournois ATP et délaisser petit-à-petit le circuit des challengers. Il en dispute encore quelques-uns, dont celui de Naples où il se hisse en demi-finale. La transition vers les tournois ATP est assez difficile, Tom ne parvient d'ailleurs pas à faire mieux que des deuxièmes tours. Néanmoins, il s'incline très rarement au premier tour, ce qui lui permet de ne pas trop s'enfoncer dans les profondeurs du classement ATP. En 1999, Tom joue quelques tournois challengers pour retrouver la confiance. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a raison. En effet, il en remporte quatre (Lucknow, Ljubjana, Graz et Scheviningen). Sur le circuit ATP, il atteint à 5 reprises les demi-finales (Casablanca, Barcelone, Umag, San Marino et Boston). En fin de saison, il dispute encore deux demi-finales en challenger, à Barcelone et au Caire. En 2000, Tom abandonne complètement les tournois challengers. Dès le début de la saison, il réussit une magnifique performance en se qualifiant pour les quarts de finale de l'Australian Open. Seuls les fameux Woodies (Woodforde et Woodbridge) parviennent à le stopper. Un mois plus tard, il se hisse en demi-finale à Copenhague. Pendant la saison, il atteint encore 5 demi-finales (Mallorca, Gstaad, Kitzbuhel, Toulouse et Stockholm). La saison 2001 commence bien également pour Tom. Il atteint les huitièmes de finale à l'Australian Open avant de parvenir en finale à Milan. Il faut alors attendre la fin du mois d'avril pour revoir Tom à la fête. Au prestigieux tournoi de Barcelone, il ne s'incline qu'en demi-finale. Il rate son Roland-Garros en étant éliminé d'emblée, mais il se rattrape de la meilleure manière à Wimbledon où il se hisse en quart de finale. Il dispute encore deux demi-finales, lors des tournois très relevés de Stuttgart et Indianapolis. En 2002, Tom change souvent de partenaire, ce qui l'empêche de réaliser de très bons résultats. Il se met tout de même en évidence à Marseille (demi-finale) et à Miami (quart de finale). Au mois de mai, il décide de tenter sa chance avec Dick Norman au challenger de Zagreb. C'est un coup de maître car ils remportent le tournoi. Néanmoins, il ne parvient pas à vraiment s'illustrer sur le circuit ATP, à l'exception d'un troisième tour atteint à l'US Open. En fin de saison, il remet alors le cap sur les tournois challengers. Il triomphe ainsi à Aachen avant de succomber en quart de finale à Bratislava. Début 2003, Tom est toujours à la recherche d'un partenaire fixe. Jusqu'à Roland-Garros, ses résultats sont d'ailleurs peu encourageants, puisqu'il n'atteint qu'une maigre demi-finale au challenger de Wroclaw. A la Porte d'Auteuil, il s'aligne aux côtés d'El Ayanoui et y atteint un beau troisième tour. Cette performance relance Tom complètement. En effet, dans la foulée du rendez-vous parisien, il se hisse en finale au challenger de Biella. Il remet alors le cap sur les tournois ATP où il ne parvient cependant pas à aller au-delà du deuxième tour. Début août, associé à Bertolini, il remporte le challenger de San Marino. En septembre, Tom atteint deux demi-finales d'affilée, à Palerme et Metz, des tournois $380.000. Sa fin de saison est moins rejoussante avec une seule demi-finale à mettre en exergue, lors du challenger d'Aix-la-Chapelle. Début 2004, Tom Vanhoudt multiplie les partenaires sans succès.
Jamais il ne parvient à franchir le deuxième tour. Fin mars,
il décide de se relancer dans des tournois challengers. Son choix
se révèle judicieux puisqu'il remporte le $25.000 de St-Brieuc
aux côtés de Christophe Rochus.
Tom trouve alors un partenaire fixe, l'Australien Jordan Kerr, avec lequel
il remporte le challenger des Bermudes et se hisse en finale à
Zagreb. Les deux partenaires décident alors de tenter leur chance
sur les tournois ATP. Ils connaissent un certain succès avec une
demi-finale à Casablanca mais en Grand Chelem, ils perdent au deuxième
tour à Roland-Garros et au premier à Wimbledon. Leur duo
tourne court et Tom s’associe alors avec Andreï Pavel le temps
du tournoi de Gstaad (où ils atteignent les demi-finales) avant
de former une nouvelle paire plus durable avec l’Italien Bertolini.
Avec celui-ci, il atteint une nouvelle demi-finale (à Umag) puis
remporte le challenger de San Marino et n’échoue qu’en
finale à Gènes. Le début de saison 2005 de Tom, qui cherche toujours un partenaire
fixe, est plutôt médiocre. Il faut attendre fin mars et son
retour sur le circuit challenger pour le revoir à son avantage.
Associé à Kristof Vliegen,
il s’impose à Barletta et atteint le dernier carré
à Naples. Fin avril, avec l’Italien Bertolini, il se hisse
à nouveau en demi-finale lors du gros challenger de Tunis. Il enchaîne
alors avec une nouvelle demi-finale au challenger de Prague et un titre
à Zagreb. Malheureusement, il mord la poussière au premier
tour à Roland-Garros et à Wimbledon. Tom reste cependant
très performant dans les épreuves challengers. Il triomphe
à Biella et dispute la finale à Braunschweig. En été,
il tente quelques tournois ATP mais s'incline à chaque fois dès
le premier tour. En fin de saison, il passe un tour au tournoi ATP de
Bucarest. Il enchaîne avec le challenger de Szczecin où il
atteint les demi-finales. A Mons, il ne s'incline qu'en finale et se hisse
une dernière fois dans le dernier carré à Aix-la-Chapelle. |