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Olivier Rochus



© Le site du tennis belge (Mons 2011)
Nom : Rochus
Prénom : Olivier
Date de naissance : 18/1/1981
Résidence : Jambes
Taille : 1m65
Poids : 59 kg
Droitier, revers à 1 main
Titres ATP en simple : 2
Titres ATP en double : 2
Titres en simple (challengers) : 7
Titres en double (challengers) : 0
Titres en simple (futures) : 6
Titres en double (futures) : 3
Meilleur classement simple : 24e (17/10/2005)
Meilleur classement double : 29e (05/07/2004)
Coach :
Surface favorite : dur

Tous ses résultats en 2012

Les photos d'Olivier lors de la Coupe Davis
Les photos d'Olivier à Mons en 2010

Faits marquants :

Classement simple en fin de saison :
1997 : 1271e (6 v / 5 d)
1998 : 642e (22 v / 7 d)
1999 : 364e (48 v / 24 d)
2000 : 67e (63 v / 25 d)
2001 : 115e (22 v / 29 d)
2002 : 64e (39 v / 26 d)
2003 : 48e (26 v / 31 d) détail
2004 : 66e (30 v / 32 d) détail
2005 : 28e (44 v / 28 d) détail
2006 : 36e (40 v / 21 d) détail
2007 : 48e (28 v / 30 d) détail
2008 : 122e (23 v / 29 d) détail
2009 : 57e (52 v / 30 d) détail
2010 : 113e (22 v / 28 d) détail
2011 : 67e (31 v / 25 d) détail

© Le site du tennis belge (Mons 2011)
Résultats en Grand Chelem et aux Masters (simple)
  Australian Open Roland-Garros Wimbledon US Open Masters
2000 -- Q3 3e tour 1er tour --
2001 1er tour 3e tour 2e tour 1er tour --
2002 1er tour 2e tour 3e tour 1er tour --
2003 2e tour 1er tour 4e tour 1er tour --
2004 1er tour 1er tour 1er tour 4e tour --
2005 4e tour 2e tour 2e tour 3e tour --
2006 2e tour 3e tour 3e tour 3e tour --
2007 2e tour 1er tour 1er tour 1er tour --
2008 1er tour 1er tour 2e tour 1er tour --
2009 -- Q3 Q1 2e tour --
2010 1er tour 2e tour 1er tour 1er tour --
2011 -- 1er tour 2e tour 1er tour --
Résultats en Grand Chelem et aux Masters (double)
  Australian Open Roland-Garros Wimbledon US Open Masters
2003 1er tour 1er tour -- 2e tour --
2004 2e tour victoire 2e tour 1er tour poule
2005 2e tour 3e tour 3e tour 1er tour --
2006 2e tour 3e tour 2e tour 3e tour --
2007 2e tour 3e tour 2e tour 1er tour --
2008 1er tour 1/4 finale -- 1er tour --
2009 -- 2e tour 1er tour 3e tour --
2010 -- 1er tour 1er tour 1er tour --
2011 -- 1er tour -- 1er tour --
Sa carrière en bref :

Olivier prend ses premiers points lors d'un circuit satellite en France en 1997.

L'année suivante, il est plutôt discret jusqu'en fin de saison avant de remporter ses deux premières victoires dans des futures également en France (alors qu'il sortait, à chaque fois, des qualifications).

En 1999, il remporte trois tournois futures à Jupille, Sunderland et Phoenix. Il atteint également la finale à celui de Sarreguemines (France). Il joue bien en double également puisqu'il atteint la demi-finale du challenger d'Ostende, avec son frère, et remporte un future.

L'année 2000 sera celle de la révélation. Après deux victoires en double (avec Réginald Willems) lors de tournois futures en France, il sort des qualifications au challenger de Cherbourg et atteint les demi-finales avant d'atteindre une autre finale en future. Après quelques semaines de creux, il remporte son premier tournoi challenger à Oberweier en Allemagne. Il est encore en demi-finale à celui d'Espinho puis se qualifie pour la première fois pour un tournoi du Grand Chelem (Wimbledon) et atteint le troisième tour, battant au passage Magnus Norman alors 2e mondial! Il continue sur sa lancée en remportant le challenger d'Ostende (en battant Van Herck et Goossens) et en qualifiant la Belgique pour le Groupe Mondial de Coupe Davis lors d'un dangereux déplacement en Italie. Il atteint encore deux demi-finales en challenger puis, alors qu'il joue à peine sa troisième épreuve sur le grand circuit, il réussit l'exploit de remporter le tournoi de Palerme (il bat son frère Christophe en demi-finale). Il recevra le titre de révélation de l'année de la part de l'ATP pour cette saison 2000.

En 2001, il marque un peu le pas. Il perd ses quatre premiers matchs avant d'atteindre la demi-finale au challenger d'Andrézieux. Il faut ensuite attendre le mois de mai pour le voir en quart de finale d'un tournoi (Houston) mais il réalise tout de même un très bon Roland Garros (il bat Rosset et Hrbaty et prend un set à Kafeïnikov). Wimbledon est par contre une déception pour lui (défaite en trois sets face à Arazi, spécialiste de la terre battue). Même s'il atteint les quarts de finale à Amsterdam, il va accuser le coup ensuite et perdre dix de ses douze matchs suivants (dont une nouvelle défaite face à Arazi en Coupe Davis). Il se rattrape bien en toute fin de saison en remportant le challenger de Bolton en Grande-Bretagne.

Il jouera mieux en 2002, en tout cas au début, puisqu'il atteint très vite la finale au tournoi de Copenhague (battu par Burgsmüller). Il enchaîne avec deux bonnes victoires contre la Grèce en Coupe Davis puis un quart de finale à Sankt Polten et une excellente performance à Roland Garros où il pousse Safin au cinquième set. Il fait encore mieux à Wimbledon où il bat le Russe en quatre sets (après avoir battu son frère au premier tour) mais se met malheureusement trop de pression pour son troisième tour et sa défaite en trois sets face à Arnaud Clément va à nouveau lui faire marquer un temps d'arrêt. Il perd en effet au premier tour des huits tournois suivants. Sa victoire sur Byron Black en Coupe Davis va le remettre sur des bons rails et il enchaîne avec une demi-finale au challenger de Grenoble et un huitième au Masters Series de Bercy.

Olivier débute 2003 avec une mini-tournée en Australie. Il n'y brille pas particulièrement puisqu'il s'incline au premier tour à Adelaïde et à Sydney avant d'atteindre le deuxième tour à l'Australian Open en remontant un handicap de deux sets à zéro face à Di Pasquale. Il faut en fait attendre le mois de février pour voir Olivier passer la vitesse supérieure. Il se hisse en quart de finale à Marseille et défend brillament sa finale 2003 à Copenhague en rééditant la performance. Il enchaîne avec un bon troisième tour à Indian Wells. Curieusement, le début de la saison sur terre battue va se révéler catastrophique pour Olivier qui se fait surprendre à cinq reprises d'entrée de jeu. Alors qu'on le croit dans le creux de la vague, l'Auvelaisien devient le premier Belge à atteindre les quarts de finale d'un Masters Series à Hambourg. Il semble fin prêt pour Roland-Garros mais s'écroule au premier tour après avoir facilement remporté les deux premiers sets face à l'Argentin Browne.
Comme il en a pris la bonne habitude, Olivier brille à Wimbledon où il se hisse en huitième de finale. Malheureusement ce résultat est suivi par un été très moyen ponctué par une défaite d'entrée de jeu à l'US Open face à Xavier Malisse. En Coupe Davis, lors de la rencontre de barrage disputée en Autriche, Olivier s'incline deux fois en cinq sets lors de ses simples mais remporte le double aux côtés de Kristof Vliegen. Il termine sa saison sur une note positive en atteignant les quarts de finale à Bâle et en s'installant dans le top 50.

Le début de saison 2004 d'Olivier ressemble à un cauchemar. En 3 mois, il ne parvient que 2 fois à franchir le premier tour et jamais le deuxième. Il dispute même un challenger pour se relancer, à Boca Raton, où il atteint les quarts de finale. En Coupe Davis, il se montre incapable de vaincre Wayne Black en simple mais se rattrape en double, aux côtés de Kristof Vliegen, en venant à bout de la redoutable paire Black / Ullyett. Fin avril, Olivier retrouve le sourire en atteignant les demi-finales à Munich. Il atteint également les quarts à Sankt-Polten, juste avant Roland-Garros. Une fois de plus, Olivier s'incline d'emblée à la Porte d'Auteuil. Heureusement, il s'inscrit pour le fun avec Xavier Malisse à l'épreuve de double. A la surprise générale, la paire belge va aller au bout et s'offrir un titre du Grand Chelem. La saison sur gazon n'est pas une grande réussite et Olivier disparaît même dès le premier tour à Wimbledon où il a si souvent brillé ces dernières années.
Le reste de la saison sur terre n’est pas plus brillant malgré une demi-finale lors du challenger de San Marino. Olivier se relance un peu lors des Jeux Olympiques grâce à une victoire sur Philippoussis avant de réussir un très bel exploit à l’US Open où il bat Ancic et Moya avant de ne s’incliner qu’en huitième de finale, victime surtout de la fatigue.
Il se montre toutefois moins efficace lors de la Coupe Davis et des premiers tournois en salle. Il faut attendre fin octobre pour le voir à nouveau atteindre son meilleur niveau. Il atteint les quarts de finale à Stockholm, passe loin du ridicule lors du Masters de double aux côtés de Malisse et termine par une demi-finale au gros challenger de Esch-sur-Alzette.

La tournée australe 2005 d’Olivier est un véritable triomphe. A Adélaïde, il ne cède qu’en demi-finale et remporte le double aux côtés de Xavier Malisse. Une semaine plus tard, c’est une place de finaliste qui l’attend à Auckland. A l’Open d’Australie, il crève l’écran en poussant Marat Safin dans ses derniers retranchements en huitième de finale. Par la suite, Olivier rentre un peu dans le rang. Il atteint tout de même le troisième tour à Monte-Carlo, mais en Coupe Davis, en Serbie-et-Monténégro, il peine à remporter son premier simple et s’incline en 5 manches lors du deuxième. Olivier s'incline ensuite d'entrée à Rome et à Hambourg. A Roland-Garros, il rend les armes au deuxième tour. Le passage au gazon se révèle bénéfique puisqu'il aligne un quart de finale à Halle et une demi à Nottingham. A Wimbledon, il baisse pavillon au deuxième tour face à sa bête noire, Max Mirnyi. En été, Olivier atteint trois fois le troisième tour, à Montréal, à Cincinnati et à l'US Open. Il se montre héroïque en Coupe Davis où il balaye James Blake et ne s'incline que de justesse face à Andy Roddick, ne pouvant ainsi empêcher la défaite de la Belgique. Sa saison indoor est remarquable. En effet, il remporte le premier challenger de Mons et atteint les demi-finales à Stockholm, le troisième tour au Master Series de Madrid et les quarts de finale à Lyon.

Après sa splendide saison 2005, Olivier doit confirmer en 2006. Lors des quatre premiers mois de l'année, il ne parvient pas à créer l'exploit, mais il se montre très régulier et passe plusieurs fois très près de l'exploit. Il réalise en effet une demi-finale (à Auckland), deux quarts (Dubaï et Rotterdam) et atteint le quatrième tour à Miami et le troisième à Indian Wells. Les deux fois il ne s'incline que 7/5 au troisième set face à respectivement Ferrer et Federer. En Coupe Davis, il joue un match très sérieux pour apporter sa contribution à la qualification belge pour les rencontres de barrage. Sa saison sur terre battue est faite de hauts et de bas. S'il triomphe à Munich, aux dépens de Kristof Vliegen, et atteint le troisième tour à Roland-Garros, il perd également deux fois au premier tour et une fois au deuxième. Sur herbe, Olivier passe à deux doigts de l'exploit en obtenant plusieurs balles de match face à Federer en quart de finale à Halle. A Wimbledon, il s'incline au troisième tour. Son été est malheureusement perturbé par une blessure. Il atteint néanmoins les quarts de finale à New Haven et le troisième tour à l'US Open. Cherchant à acquérir du rythme avant la Coupe Davis, il décide de participer au challenger d'Orléans et y remporte le titre. Il permet ensuite à la Belgique de réintégrer le groupe mondial en Coupe Davis en remportant ses trois matches en Slovaquie. Sa fin de saison est un peu plus décevante. Il réalise un bon open de Stockholm, avec un quart de finale en simple et une finale en double, mais ne parvient pas à dépasser les quarts au challenger de Mons et s'incline au premier tour à Madrid et au deuxième à Paris-Bercy.

Le début de saison 2007 d'Olivier est loin d'être mauvais, mais il reste en deça de ce qu'on l'on peut attendre d'un prétendant au top 30. Lors des trois premiers mois de l'année, il atteint deux quarts de finale (à Doha et Dubaï), le troisième tour à Indian Wells et à Miami, où il déclare forfait pour le match qui devait l'opposer à Rafael Nadal, et il contribue au succès de la Begique contre l'Australie en battant Chris Guccione et en offrant une belle résistance à Lleyton Hewitt. Malheureusement, l'arrivée de la terre battue est synonyme de catastrophe pour Olivier. Il ne gagne qu'un affrontement, à Rome, en quatre tournois, sans compter la Coupe Davis contre l'Allemagne et la World Team Cup où il ne remporte pas le moindre match. Sa saison sur herbe est du même tonneau. Il perd trois en effet trois fois d'entrée de jeu en autant d'épreuves. On perçoit enfin un rayon de soleil en juillet, lorsqu'il atteint les quarts de finale à Bastad. Ce résultat reste cependant sans lendemain et il s'incline à nouveau au premier tour au challenger de Segovie, à Cincinnatti, à New Haven et à l'US Open où il est balayé par Robbie Ginepri. Olivier décide alors de se relancer avec un tournoi challenger, à Orléans. Comme l'année précédente, il s'impose et à la fin du mois de septembre, il confirme ce résultat en atteignant la finale à Mumbaï. En fin de saison, il réalise encore un quart de finale au challenger de Mons et à Lyon, ce qui lui permet de réintégrer le top 50.

En 2008, Olivier est constamment gêné par une blessure à l’épaule. Ses résultats s’en ressentent fortement. En 7 mois, il n’atteint qu’un maigre quart de finale à Zagreb. Il doit même repasser par les qualifications pour certains Masters Series (Monte-Carlo et Hambourg où il atteint les deux fois le deuxième tour). Le double lui permet de garder le sourire avec un quart de finale à Roland-Garros, associé à Steve Darcis, et une finale à Kitzbuhel. La fin de saison ne se déroule guère mieux et Olivier ne retrouve le sourire qu'en de trop rares occasions, comme aux Jeux Olympiques, où il atteint le troisième tour, à Mons, où il n'échoue qu'en demi-finale, où encore à Madrid où il se hisse dans le tableau final après de belles victoires sur Calleri et Canas.

Retombé au-delà de la 100e place, Olivier fait une croix sur la saison australienne et jette son dévolu sur le circuit challenger pour tenter de s'y refaire une santé. Les trois premiers mois sont mitigés, avec une belle finale à Belgrade et un quart à Heillbronn mais aussi quelques éliminations prématurées. La saison sur terre-battue va permettre à Olivier de retrouver le moral. Il aligne deux quarts et une finale en challenger, juste avant Roland-Garros. Il y connaît cependant une cruelle désillusion en s'inclinant au dernier tour de qualifications. Olivier ne tarde pas à se consoler en se qualifiant à Halle et en atteignant dans la foulée les demi-finales. Malheureusement, il échoue au premier tour de qualifications à Wimbledon, où il a hérité d'un tirage au sort particulièrement malchanceux : le revenant Taylor Dent. Cela ne décourage pas Olivier qui atteint rapidement une nouvelle demi-finale à Newport avant de remporter le challenger de Manchester. La fin de l'été est plus discrète, avant néanmoins une finale en challenger et un deuxième tour à l'US Open comme points d'orgue. En fin de saison, Olivier est moins régulier mais parvient néanmoins à se hisser en finale d'un tournoi ATP, à Stockholm, pour la première fois depuis deux ans. Il termine la saison dans les 60 premiers.

Le début de saison 2010 d'Olivier est plutôt poussif. En effet, au cours du premier trimestre, seul un troisième tour à Miami et une finale de double à Zagreb viennent éclairer un tableau tristounet. La saison sur terre-battue ne lui permet pas réellement de retrouver le sourire avec un quart de finale à Nice comme point d'orgue. A Wimbledon, Olivier disparaît d'entrée de jeu, mais en ayant poussé Novak Djokovic au 5e set. Il puise dans ce résultat la confiance nécessaire pour se hisser en finale une semaine plus tard à Newport. C'est malheureusement son dernier fait d'arme de la saison. Sa fin de saison est à l'image du début, très moyenne, et sauvée, en partie seulement, par sa prestation sans faille en Coupe Davis en Australie.

Début 2011, Olivier joue trois challengers dont il ressort avec deux quarts de finale. Il dispute alors la Coupe Davis contre l'Espagne mais n'est pas sélectionné pour le premier match. Cela entraîne la rupture avec son coach et sélectionneur national, Réginald Willems, mais cela lui donne aussi l'envie de prouver qu'il méritait de jouer ce match. Il va en effet immédiatement remporter le challenger du Gosier où il atteint également la finale du double. Il sort ensuite des qualifications à Miami et se hisse au 4e tour. La saison sur terre battue est moins réjouissante et son meilleur résultat est un deuxième tour à Monte-Carlo. Le gazon lui permet de retrouver des couleurs. Il atteint en effet les quarts de finale à Eastbourne, le deuxième tour à Wimbledon et, surtout la finale à Newport. Malheureusement le ciment lui réussit moins et son été est médiocre avec trois défaites de rang au premier tour. Aussi inconstant durant l'automne, il est battu au premier tour à quatre reprises mais dispute tout de même la finale du Challenger de Rennes.