Faits marquants :Classement simple en fin de saison :1982 : 219e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1983 : 57e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1984 : 25e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1985 : 34e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1986 : 71e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1987 : 100e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1988 : 234e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1989 : 296e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1990 : 329e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1991 : 369e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1992 : 739e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1998 : 1342e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats Classement double en fin de saison :1983 : 86e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1984 : 50e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1985 : 54e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1986 : 111e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1987 : 290e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1988 : 183e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1989 : 224e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1990 : 124e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1991 : 59e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1992 : 37e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1993 : 54e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1994 : 71e (0 v / 0 d) résultats de l'année 1995 : 53e (0 v / 0 d) résultats de l'année |
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Résultats en Grand Chelem et aux Masters (simple)
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Résultats en Grand Chelem et aux Masters (double)
Sa carrière en bref :En 1981 Libor Pimek dispute son premier tournoi challenger à Bruxelles. Il s'y incline dès le premier tour. L'année suivante, il remporte son premier challenger à Ostende. Il atteint également le deuxième tour aux challengers de Bucholz et de Bari. C'est en 1983 que Libor perce réellement au plus haut niveau. Il sort de l'anonymat en s'extirpant des qualifications au tournoi ATP de Lisbonne et en atteignant les demi-finales. Plus tard dans la saison, il accède aux demi-finales de Gstaad. Il atteint également trois quarts de finale à South Orange, Barcelone et Ferrara. Il se distingue aussi en double en remportant le tournoi de Nice avec Bernard Boileau. En 1984, il dispute la Coupe Davis avec la prestigieuse équipe Tchèque. Après un début de saison moyen (3 défaites au deuxième tour), il monte en régime en atteignant les quarts de finale à Bari. En mai, il se hisse en quarts de finale à Hambourg et la semaine suivante il triomphe à Munich. En été, il dispute deux demi-finales consécutives à Indianapolis et à Colombus. Juste après l'US Open il se hisse encore en demi-finale à Genève. C'est au cours de cette saison qu'il atteint son meilleur classement (21è). En double, il s'illustre à nouveau en remportant le tournoi de Bari et en atteignant la finale à Genève et les demi-finales à North Conway. En 1985, Libor confirme son excellente saison précédente. Dès le mois de février il dispute une demi-finale à La Quinta. Il accède également aux quarts de finale de Monte Carlo. Tout au long de la saison, il dispute encore la finale à Vienne, les demi-finales à Bâle et les quarts de finale à Toulouse, Boston et Bordeaux. En double, il remporte un nouveau titre à Boston et ne s'incline qu'en finale à Bordeaux. Il dispute encore quatre demi-finales (Nice, Munich, Rome et Indianapolis). La saison 1986 de Libor est légèrement inférieure aux deux précédentes. Il se hisse néanmoins à deux reprises en demi-finales, à Saint-Vincent et à Wembley. Par trois fois, il échoue en quart de finales (Cologne, Rome et Bordeaux). En double, il remporte le titre à Athènes et atteint la finale à Saint-Vincent. A Bordeaux et à Washington, il se hisse en demi-finale. En 1987, les résultats de Libor sont de plus en plus irréguliers. Il faut attendre la fin de saison pour le voir accéder aux quarts de finale de Frankfurt. Il atteint également trois fois le troisième tour, notamment à l'US Open où il s'incline très lourdement face à Mats Wilander. Il joue même un tournoi challenger, à Clermont-Ferrand dont il atteint tout de même la finale. Libor ne parvient pas non plus à s'exprimer pleinement en double puisqu'il n'atteint que deux quarts de finale, à Nice et à Palerme. En 1988, Libor continue à s'enfoncer dans le classement ATP. Jamais au cours de la saison il ne parvient à dépasser le deuxième tour et il doit même passer par les qualifications à l'US Open. Ses résultats de double s'en ressentent également et il n'obtient que deux places de demi-finaliste à Livingston et à Bruxelles. En 1989, Libor opte pour la nationalité belge. Son classement l'oblige à disputer des tournois challengers. Il remporte celui de Knokke juste avant d'accéder aux demi-finales à Odrimont. Il se hisse encore en finale à Eger. En double, il ne dispute qu'un quart de finale au tournoi ATP de Lorraine. En 1990, Libor commence à privilégier le double. Il dispute bien quelques challengers en simple mais ne parvient qu'une fois en demi-finale (à Knokke) et un fois en quart (à Bristol). Par contre il renoue avec le succès en double en remportant le titre à Bordeaux et en atteignant les demi-finales à Casablanca et à Umag. En 1991, Libor fait clairement le choix du double. Il participe cependant encore aux qualifications de quelques tournois de simple, s'en sortant tout de même à 4 reprises. En double, par contre, il dispute deux finales (à Bruxelles et à Prague), les demi-finales à Nice, les quarts de finale à Rome et le troisième tour à Roland-Garros et à l'US Open. Alors qu'il termine la saison dans le top 100 en double, il est au-delà de la 300è place en simple. Il participe aussi pour la première à la Coupe Davis sous les couleurs belges. En 1992, Libor dispute son dernier match de simple sur le grand circuit lorsqu'il s'incline au premier tour à San Marino après être sorti des qualifications. En double, il réalise une magnifique saison ponctuée par deux titres, à Estoril et à Gstaad et par deux finales (Copenhague et Cologne). A 4 reprises il échoue en demi-finale (Milan, Stuttgart, San Marino et Bolzano). En 1993, Libor, qui ne joue plus du tout en simple, remporte trois nouveaux titres. Il sort en effet vainqueur des tournois de Florence, Prague et Bucarest. Il atteint aussi la finale à Hilversum et les demi-finales à Munich, Bolzano et Lyon. En 1994, il ne remporte par de tournois ATP mais bien deux challengers à Turin et Ostende. Sur le circuit ATP, il se hisse quatre fois en demi-finale et au troisième tour de l'Australian Open. En 1995, Libor est sacré une nouvelle fois à Prague. A Bologne et à Sankt-Polten il n'échoue qu'en finale. Il se hisse encore deux fois en demi-finales, à Gstaad et à Bucarest. C'est en 1996 que Libor Pimek entre dans l'histoire du tennis belge. Grâce à une saison magnifique ponctuée par quatre titres (Zagreb, Copenhague, Stuttgart et Kitbuhel), une finale (Rome), six demi-finales et un quart de finale à Roland-Garros, il devient brièvement 4è joueur mondial de double. Il est aussi le premier belge à être qualifié pour un Masters. Malheureusement il est éliminé dès les poules sans remporter la moindre victoire. En 1997, Libor doit confirmer son extraordinaire saison. Il y parvient relativement bien pusiqu'il remporte un nouveau trophée à Palerme et accède aux finales de Rotterdam et Amsterdam. Il dispute encore 5 demi-finales et termine la saison à la 40è place. En 1998, Libor change de partenaire et le manque d'automatisme se fait sentir dans ses résultats. A deux reprises seulement il atteint les demi-finales (Coral Springs et Bucarest). Il sort du top 100 pour la première fois en 8 ans. En 1999, jamais Libor ne parviendra à franchir le premier tour, ni sur le circuit ATP ni lors des tournois challengers. Dès lors, après une ultime défaite à Ostende, il décide de tirer un trait sur sa longue et fructueuse carrière. |