Faits marquants :Classement simple en fin de saison :1984 : 292e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1985 : 151e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1986 : 208e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1987 : 185e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1988 : 87e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1989 : 305e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1990 : 126e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1991 : 94e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1992 : 212e (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats 1997 : Ncl (0 v / 0 d) résultats de l'année - Stats Classement double en fin de saison : |
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Résultats en Grand Chelem et aux Masters (simple)
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Résultats en Grand Chelem et aux Masters (double)
Sa carrière en bref :En 1984, Eduardo Masso, alors Argentin, accède au deuxième tour du challenger de San Luis Potosi. L'année suivante, il dispute beaucoup de tournois challengers. Il se hisse à trois reprises en demi-finale, à Istanbul, Ostende et Porto Alegre. Il atteint même la finale à Dortmund. En 1986, il dispute ses premiers tournois ATP mais que ce soit en Lorraine, à Athènes, à Bordeaux ou à Hilversum, jamais il ne parvient à franchir le premier écueil. En challenger, il s'incline à quatre reprises au premier tour et ne dispute qu'un quart de finale, à Guajura. En 1987, Eduardo est contraint de rejouer plus souvent au niveau des challengers. Il se hisse deux fois en quart de finale, une fois en demi-finale (à Estoril) et une fois en finale (à Knokke). Il parvient aussi à se qualifier pour le tournoi ATP de Bruxelles mais s'incline au premier tour. En fin de saison, il met à profit le tournoi ATP de Tel-Aviv pour enfin passer un tour à ce niveau. En 1988, Eduardo passe à la vitesse supérieure.
Il joue beaucoup moins de challengers, remportant tout de même le
$75.000 de Cascais au passage, et beaucoup plus de tournois ATP. C'est au cours de l'année 1989 qu'Eduardo Masso opte pour la nationalité belge. Sa saison sera malheureusement assez médiocre puisqu'il s'incline à 8 reprises dès son premier match. Pourtant, il avait bien commencé en atteignant les demi-finales du tournoi de Lorraine en simple et la finale en double. Même en challenger, il éprouve des difficultés à briller. En effet, en six participations, il n'accède que deux fois aux quarts de finale. Il termine la saison au delà de la 300è place mondiale. En 1990, Eduardo va prouver que sa saison précédente était un accident. Il dispute notamment pour la première fois la Coupe Davis et aide la Belgique a monter dans le groupe mondial grâce à ses deux victoires contre la Hongrie et ses deux autres victoires contre la Corée du Sud. En tournoi, il sort des qualifications à Umag mais s'incline au premier tour. A Hilversum, il sort à nouveau des qualifications, mais cette fois il ne s'arrête qu'en finale. Il dispute quelques tournois en fin de saison, mais il ne passe qu'une fois le premier tour, à Lyon. En challenger, son seul résultat notable est son quart de finale à Bossonnens. En 1991, il faut attendre le mois de mai pour voir Eduardo à la fête. Juste avant Roland-Garros, il atteint les quarts de finale à Bologne. Juste après Roland-Garros où il s'incline dès le début des hostilités, il dispute deux demi-finales d'affilée, à Florence et à Gênes. En toute fin de saison, il parvient encore en quart de finale à Sao Paulo. En Coupe Davis, il participe au maintient de la Belgique. En effet, même s'il n'a rien pu faire sur le gazon australien (deux défaites), il remporte ses deux simples en Israël. La saison 1992 n'est pas bonne pour Eduardo. Il s'incline à douze reprises dès son entrée en lice et jamais il ne va plus loin que le deuxième tour. Même en challenger, il éprouve des difficultés à franchir le cap du premier tour. A une seule reprise il atteint les quarts de finale (à Salerne). |